Des commerces illégaux. Pas d’impôt. Pas de déclarations Urssaf, de bail commercial, de bilan comptable…La liste est longue. A cela s’ajoute les denrées alimentaires périmées saisies par les services compétents, les manquements généraux aux règles d’hygiène élémentaires, les branchements électriques « sauvages » : tout, vraiment tout pour faire fermer boutique au premier « boui-boui » ordinaire.
De quoi faire faire un infarctus à un contrôleur de la Ddass et provoquer un démantèlement du baraquement illico-presto par voie de justice.
La justice, justement,est à géométrie variable lorsqu’elle verse dans la politique. Véritablement insupportable. Car sous l’argument du « bon sentiment », elle vient de valider la continuité de l’activité des commerces illégaux dans la jungle de Calais. http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2016/08/12/01016-20160812ARTFIG00143-la-justice-refuse-la-fermeture-des-echoppes-de-la-jungle-de-calais.php
Motif ? Ne surtout pas faire de vagues avec les migrants, et passer pour des magistrats de droite. Je crois qu’il n’y a hélas rien à ajouter !