Le« taharrush gamea » ou l’agression sexuelle venue du monde arabe

cologneIl en aura fallu, de l’exaspération et du courage, pour que les agressions sexuelles en masse de Cologne soient rendues publiques, et avec elles, leurs auteurs, les raisons et les circonstances de ce qui relèverait en France – désolée du peu – de la Cour d’Assises.

Des plaintes pour viol, vol en réunion, attouchements sexuels dont les auteurs sont quelques centaines de sans-papiers que la presse nomme « migrants ». Outre une opinion publique européenne exaspérée et outrée, des centaines de victimes et des millions de femmes choquées, que nous reste-t-il après l’annonce de cette nuit d’enfer à Cologne ?

Que font les féministes ?
Il reste que les autorités Allemandes ont très rapidement fait le lien entre le scénario de Cologne et le «  taharrush gamea » (signifie harceler et attaquer les femmes dans la rue, dans le but de montrer la prédominance des hommes). Pour dire les choses clairement, il s’agit d’un phénomène d’agressions sexuelles de femmes organisé dans les foules, venu tout droit des pays arabes.

Charmante coutume !

Le Figaro, comme d’autres grands quotidiens européens, s’en fait d’ailleurs l’écho dans ces articles : 

http://www.lefigaro.fr/international/2016/07/12/01003-20160712ARTFIG00162-allemagne-1200-femmes-agressees-pendant-la-nuit-du-nouvel-an.php

http://www.lefigaro.fr/vox/monde/2016/07/12/31002-20160712ARTFIG00266-agressions-sexuelles-a-cologne-cette-tragedie-que-l-on-n-a-pas-voulu-voir.php

 

Le principe est d’encercler la ou les victimes féminines dans les foules, et de procéder à des attouchements et des vols : le but ? Neutraliser la « proie » avant de la dépouiller, ou de la violer lorsque rien ne vient enrayer le scénario.

Le foyer de ce phénomène est vague : mais du Maroc à l’Afghanistan, il a pour dénominateur commun le monde arabe, et au-delà, une vision de la femme indigne de nos valeurs.

Que font les « chiennes de garde », si promptes à se battre pour féminiser le vocabulaire ? Qu’attendent-elles pour organiser des manifestations et demander une protection concrète judiciaire et sécuritaire ?

 

Déjà en Allemagne, en Autriche et en Suède, bientôt la France ?

 

Il reste également que les langues se délient. Car la Suède a également connu des épisodes de « taharrush gamea », comme évoqué dans cet article : http://www.lefigaro.fr/international/2016/01/12/01003-20160112ARTFIG00141-suede-la-police-accusee-d-avoir-dissimule-des-agressions-sexuelles.php.

Avec cette circonstance aggravante : les faits auront mis six mois pour être divulgués au grand public : inadmissible de la part des autorités suédoises, lorsque l’on sait le danger que cette pratique criminelle représente.

Il ne fallait pas entacher le politiquement correct, selon l’aveu même des autorités suédoises : un comble ! En Autriche aussi, on a enregistré des actes relevant du « taharrush gamea » : http://www.lefigaro.fr/international/2016/01/12/01003-20160112ARTFIG00114-plusieurs-plaintes-en-autriche-apres-des-agressions-sexuelles.php.

 

Les femmes seront heureuses d’apprendre que la seule réponse concrète de la police autrichienne fut … de leur conseiller de ne pas sortir seule ! On croit rêver : faut-il demander à son mari quoi voter, ou la permission de conduire ? Il me semblait qu’une démocratie digne de ce nom garantissait le droit des femmes.

 

Voici une nouvelle démonstration que l’Europe est attaquée sur tous les fronts. Ici, sur le plan des valeurs, de la place de la femme dans nos démocraties. Hier, sur le plan de nos emplois, avec un dumping social organisé via l’afflux des « migrants ».

 

Demain, où cette Union Européenne nous mènera-t-elle ?

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