La France vit un deuil national, et une épreuve sans précédent dans l’histoire moderne.
Mes pensées et mes prières vont vers les victimes du terrorisme, et vers les autorités chargées de protéger les cibles potentielles.
Il ne serait pas digne de verser dans la surenchère, ni de contribuer à l’emballement de quelque manière que ce soit.
Chacun d’entre nous se sent touché et ému. J’en prends, comme beaucoup d’anonymes, ma part personnelle.
Avec pudeur et retenue, je souhaite simplement et de tout cœur que, dans l’immédiat, nous puissions retrouver une situation apaisée, et en tirer les conclusions lorsqu’il en sera temps.
Pour l’heure, place au recueillement.
Christine Besançon